
Leeds United défie une F1 Red Bull sur la pelouse d’Elland Road
Les joueurs de Leeds United affrontent une F1 Red Bull sur le terrain d’Elland Road dans une course unique et serrée.
Leeds United affronte une F1 Red Bull sur la pelouse d’Elland Road
En 2007, la légende sud-africaine du rugby Bryan Habana avait marqué les esprits en affrontant un guépard dans une course « Homme contre Bête », démontrant la vitesse humaine face à la nature – un défi qu’il avait finalement perdu.
En 2025, Leeds United s’approprie ce concept avec une touche de haute technologie.
Un défi inédit entre joueurs de Leeds United et voiture de Formule 1
Dans une collaboration exceptionnelle avec Red Bull Racing, trois des joueurs les plus rapides de Leeds United – Willy Gnonto, Largie Ramazani et Isaac Schmidt – se sont mesurés à une voiture de Formule 1 dans une course « Homme contre Machine » sur la pelouse du stade d’Elland Road. Le bolide était conduit par Arvid Lindblad, étoile montante de la F2.

Une course serrée sur la pelouse d’Elland Road
Le principe était simple : les joueurs et la voiture devaient effectuer deux tours de piste sur la pelouse, d’un bout à l’autre de la surface de réparation puis retour.
Au final, c’est la voiture qui l’a emporté, mais avec une marge extrêmement réduite.
Grâce à la pelouse bien entretenue et aux virages serrés à 180 degrés, la Red Bull F1 a eu du mal à garder une bonne adhérence, offrant ainsi aux joueurs de Leeds United une occasion unique de rivaliser. La machine a finalement franchi la ligne d’arrivée avec à peine une seconde d’avance sur les joueurs.
Les impressions des participants après la course
Largie Ramazani a partagé son enthousiasme : « Ce fut une expérience incroyable, j’aimerais pouvoir refaire ça tous les jours avec Red Bull. La seule chose qui serait encore mieux, ce serait de prendre le volant. J’adore la F1. Je suis allé au Grand Prix de Monaco la semaine dernière, c’était un moment impérissable pour moi. »
Le pilote Arvid Lindblad a également confié ses sentiments : « Avant la course, j’étais un peu nerveux. Je n’avais jamais conduit sur de l’herbe et je ne savais pas comment ça allait se passer. La voiture a énormément de chevaux sous le capot et il y a peu d’adhérence sur l’herbe, donc je n’étais pas sûr de pouvoir accélérer à fond et gérer les virages. Mais c’était vraiment très amusant. »
Qu’il s’agisse d’un guépard ou d’une machine en fibre de carbone, une chose est certaine : malgré notre rapidité, les humains restent légèrement derrière. C’est cependant cette poursuite, face à la bête ou à la machine, qui procure tout le plaisir.