Barcelone renonce au transfert de Vangelis Pavlidis, cible à 100 M€ de Chelsea
Le buteur vedette de Benfica, Vangelis Pavlidis, suscite l’intérêt de plusieurs clubs majeurs, notamment Chelsea et Barcelone. Cependant, selon un récent rapport portugais, le club catalan a choisi de ne pas poursuivre le transfert du joueur estimé à 100 millions d’euros.
Une montée en puissance remarquée chez Benfica
Arrivé de l’AZ Alkmaar pour 18 millions d’euros il y a moins d’un an, le joueur de 26 ans a connu la meilleure saison de sa carrière jusqu’à présent. Il continue d’afficher une efficacité redoutable devant le but cette saison et reste le meilleur buteur de Benfica, engagé dans une lutte acharnée pour le titre avec le Sporting CP, avec seulement six rencontres restantes. Pavlidis a également inscrit sept buts en Ligue des Champions et marqué deux fois lors d’une victoire notable de la Grèce contre l’Angleterre en octobre dernier.
Intérêt des clubs anglais et refus de Barcelone
Les performances de Vangelis Pavlidis ont attiré l’attention de plusieurs clubs de Premier League, dont Chelsea, Everton, Newcastle United, Nottingham Forest et West Ham United, capables d’offrir des salaires conséquents au buteur grec.
Cependant, Barcelone a été dissuadé par la clause libératoire fixée à 100 millions d’euros dans le contrat de Pavlidis, ce qui semble être un obstacle insurmontable pour le club catalan, selon A Bola.
Un transfert compliqué à cause de la Coupe du Monde des Clubs
La prochaine Coupe du Monde des Clubs, prévue cet été, complique également toute éventuelle transaction. Benfica, qui affrontera le club néo-zélandais Auckland City, le leader de Bundesliga Bayern Munich, ainsi que les célèbres Argentins de Boca Juniors dès le 16 juin, sera peu enclin à laisser partir son attaquant vedette avant la compétition.
Vangelis Pavlidis entre argent et ambition
Dans une interview accordée à Business Review Greece l’été dernier, Pavlidis a clairement exprimé sa vision pragmatique du football : « Je choisirai toujours la meilleure offre professionnelle. Le football est devenu un jeu d’affaires. Les équipes sont des entreprises, les joueurs aussi. Chacun cherche à progresser, à se faire connaître et à gagner de l’argent. Car au final, pour un joueur, c’est avant tout un métier. »










