L mercato estival du Olympique de Marseille a surpris par son envergure et ses rebondissements. Douze recrues ont rejoint le club phocéen, et l’arrivée la plus retentissante est sans doute celle de Benjamin Pavard, prêté par l’Inter. Le départ d Adrien Rabiot vers l’AC Milan a aussi marqué le mercato, mais Pavard a rapidement pris une place centrale en renforçant une défense marquée par les enjeux du haut niveau.

Pavard voulait rentrer en France
Selon les informations relayées par La Gazzetta dello Sport, le défenseur souhaitait quitter l’Inter pour rentrer en France après de nombreuses années passées à l’étranger. Son choix s’est porté sur l’Olympique de Marseille, où il pourrait redistribuer les cartes en défense et offrir une alternative fiable à l’effectif. Après avoir choisi Marseille, Pavard a été présenté comme un élément clé du reprenant dispositif défensif mis en place par le staff technique.
Balerdi, première victime ou simple ajustement ?
L’arrivée de Pavard remet en lumière le cas Leonardo Balerdi. Les prestations moins convaincantes du début de saison alimentent les rumeurs autour du capitaine marseillais, laissant planer l’idée d’un possible repositionnement ou d’un temps de jeu plus restreint. La concurrence défensive s’accroît toutefois avec l’arrivée d’autres profils, notamment Emerson Palmieri, Nayef Aguerd, Facundo Medina et CJ Egan-Riley, qui apportent différentes solutions et densité à l’arrière.
Des renforts pour la défense
Avec ces ajouts, Marseille tente de doter son secteur défensif d’un ensemble plus compétitif et polyvalent pour affronter les exigences du championnat et des compétitions européennes. L’effectif gagne en profondeur et en options tactiques, ce qui pourrait peser sur les choix d’alignement tout au long du mercato estival.
Le mouvement Pavard marque une étape importante dans la reconstruction défensive de Marseille, qui entend tirer parti de cette vague de renforts pour mieux gérer les échéances à venir et offrir une assise plus solide au milieu du terrain et devant la cage.








