France
Une finale exceptionnelle au cœur de Montmartre
Dimanche 27 juillet restera gravé dans les mémoires comme l’un des moments les plus spectaculaires du Tour de France 2025. La dernière étape, qui a emprunté un itinéraire inédit à travers les rues emblématiques de Montmartre, a attiré une foule immense, transformant la célèbre butte en un véritable théâtre de fête et d’émotion. La rue Lepic, notamment, était noire de monde, offrant un spectacle unique pour cette fin de parcours historique.
Une ambiance hors normes dans le quartier mythique
Les spectateurs étaient au rendez-vous dès le matin, campant sur place ou se rassemblant pour vivre chaque instant de cette étape hors du commun. Sur les pavés de Montmartre, l’atmosphère était électrique, avec une ferveur palpable à chaque passage du peloton. Un spectateur enthousiaste confie : « Ça fait vibrer tout le corps, on ne ressent ça qu’au Tour. » Une autre personne ajoutait : « L’ambiance est extraordinaire. On voit les coureurs souffrir, on sent leur fatigue, c’est dur, mais c’est aussi magnifique de pouvoir les voir si proches. »
Une foule en liesse, comparable à celle des Jeux Olympiques 2024
Les supporters, présents en nombre, ont offert une ambiance digne des grands événements sportifs internationaux. La foule, massée sur les balcons et dans les virages de la rue Lepic, a transformé cette dernière étape en un véritable festival. La fête a monté en intensité tout au long de la journée, avec des spectateurs qui n’ont pas hésité à faire preuve de créativité et d’enthousiasme. Un résident de Montmartre témoigne : « Depuis ce matin, la rue est pleine de gens qui campent, partagent des boissons et fêtent comme si c’était la victoire d’une étape mythique. On se passe de l’eau pour se rafraîchir, on rigole, on partage ce moment unique. »
Une fin de parcours à la hauteur de l’événement
Pour cette 112e édition, le Tour de France a su offrir une finale à couper le souffle, mêlant images fortes, conditions changeantes et un public en délire. Que ce soit sous le soleil ou la pluie, la ferveur n’a jamais faibli, inscrivant cette étape dans la mémoire collective comme l’une des plus mémorables de l’histoire de la Grande Boucle.
