Ruben Amorim a exprimé qu’il n’éprouve aucun regret à l’idée de laisser partir Marcus Rashford, qui a rejoint Aston Villa en prêt. La décision intervient alors que Manchester United traverse une période difficile, ayant encaissé leur cinquième défaite à domicile lors de leurs six derniers matchs de Premier League et peinant sérieusement en attaque.
Une saison compliquée pour Manchester United
Cette saison, Manchester United a du mal à marquer des buts, se classant parmi les équipes ayant inscrit le moins de réalisations en Premier League. Amorim a commenté cette situation : « Ce n’est pas embarrassant. Quand vous prêtez un joueur – et je ne pense pas que ce soit encore officiel – vous vous attendez à ce qu’il joue et s’améliore, donc il n’y a rien d’humiliant là-dedans. Je comprends la question, mais je me concentre sur mes joueurs, c’est tout. »
Amorim reste concentré sur l’équipe
Amorim a souligné l’importance de l’amélioration collective de l’équipe : « Nous devons nous améliorer en tant qu’équipe pour marquer des buts, et nous faisons de notre mieux. Ce marché est vraiment difficile pour les clubs pour réaliser des transactions. Cela peut être urgent, et parfois, dans le feu de l’action, on fait des erreurs. »
Il a ajouté : « Nous voulons vraiment nous améliorer, je sais ce dont l’équipe a besoin. Parfois, c’est possible ou pas, mais nous essayons tout. »
Les détails du prêt de Rashford
Aston Villa paiera un minimum de 75 % du salaire de Rashford, qui s’élève à 325 000 livres sterling par semaine, ce qui pourrait atteindre 90 % en fonction des primes liées à la performance. De plus, le club aura une option d’achat à la fin de la saison.
Focus sur l’avenir
Concernant d’autres mouvements sur le marché des transferts, United envisage un prêt pour le jeune attaquant de Bayern Munich, Mathys Tel, mais Amorim a restreint ses commentaires : « Quand la fenêtre se fermera, nous examinerons les joueurs. Je me concentre sur l’amélioration de l’équipe en tant que groupe. Nous devons gagner plus de matchs et nous essaierons de le faire. » Amorim a conclu en insistant sur la nécessité de petites améliorations pour regagner de la dynamique après les revers subis.








