L’Écosse est désormais assurée d’obtenir au moins un passage par les barrages pour la Coupe du Monde et peut viser une qualification automatique en Amérique du Nord avec deux victoires supplémentaires.
Une victoire nerveuse 2-1 contre les Biélorusses, adversaire le plus faible du Groupe C, n’a pas insufflé de confiance à la Tartan Army et Steve Clarke s’est étonné du manque d’allant affiché à Hampden.
Mais la victoire écrasante du Danemark sur la Grèce, 3-1 à Copenhague, a définitivement clos les derniers espoirs hellènes de s’inscrire parmi les deux premiers. Les Danes et l’Écosse mèneront le groupe, le classement restant à déterminer sur les points plutôt que sur les confrontations directes.
La Grèce avait pris l’avantage en première moitié avant d’être rattrapée par un blitz danois de vingt minutes, scellant le succès des Danois grâce à des réalisations de Rasmus Højland, Joachim Andersen et Mikkel Damsgaard, tandis que Christos Tzolis inscrivait une consolation.
Le décompte final dépendra désormais des points. Comme l’Écosse est encore derrière sur les critères de tête-à-tête, il faudra obtenir des résultats et non seulement espérer un rebondissement dans les autres rencontres pour prendre la tête du groupe.
Si le Danemark reçoit la Biélorussie pendant que l’Écosse se rend en Grèce et que les Danois réalisent le travail, un nul en Grèce pourrait suffire pour conserver la première place, en supposant qu’ils ne laissent pas échapper le match retour attendu.
Un duel sous les projecteurs à Hampden Park est donc en perspective, le mardi 18 novembre, pour déterminer quelle nation obtiendra une place en Coupe du Monde, la première qualification des Écossais en trois décennies.









