France
À quelques heures du Clasico OM-PSG, Luis Enrique affirme que son équipe cherche à maîtriser le tempo du match et à apaiser l’atmosphère du Vélodrome. Il rappelle que le temps de préparation n’est pas le seul critère et que l’envie de jouer, ainsi que la motivation des joueurs, restent déterminantes, surtout face à ce public.
Concernant l’éventuel écart entre le PSG et l’OM, il préfère rester prudent. Un match à l’extérieur apporte son lot de difficultés. Le travail fourni lors de la préparation permet d’aborder la rencontre avec calme et concentration, l’objectif étant de jouer et d’être meilleur que l’adversaire. Le niveau des deux équipes ne se juge pas sur quelques matches, surtout au tout début de saison.
Question sur qui porte davantage la pression, De Zerbi ou lui, il répond que la pression est surtout partagée entre De Zerbi, les joueurs et les supporters. Le plus important n’est pas de désigner un favori mais d’afficher la personnalité nécessaire pour jouer un bon match à l’extérieur, particulièrement contre l’OM.
Le débat sur le meilleur PSG de l’histoire n’est pas prioritaire selon lui: ce type de discussion appartient davantage à l’imagination de l’été.
Concernant l’ambiance au Vélodrome, il préfère ne pas classer les stades. En revanche, ce qu’il aime, c’est voir comment on peut calmer une ambiance en démontrant la maîtrise du jeu. Nous avons déjà joué dans de nombreux stades impressionnants en Europe et, bien souvent, ce sont nos 3000 ou 4000 supporters qui se font entendre lorsque nous conservons le ballon. L’objectif reste le contrôle du rythme du match, même face à une équipe qui privilégie l’attaque et la possession.
Geronimo Rulli a déclaré que l’OM allait affronter le meilleur PSG de l’histoire. Quelle est son opinion ? Selon lui, ce débat relève davantage de l’été et de la plage. Nous restons concentrés sur l’amélioration et sur la mentalité affichée à l’entraînement, qui est encourageante pour l’entraîneur. Il faut poursuivre dans cette voie.
