Piastri adapte son pilotage au Mexique pour relancer la McLaren

Piastri adapte son pilotage au Mexique pour relancer la McLaren

Piastri pilote Mexique McLaren et explique ses difficultés et les ajustements de son pilotage après le GP du Mexique, alors que Norris et Verstappen prennent l’avantage.

Mexique

Oscar Piastri a donné de nouvelles explications sur sa passe récente et, pour expliquer les difficultés, il évoque son Piastri pilotage Mexique McLaren, après une cinquième place au GP du Mexique où il a encore souffert.

L’Australien est désormais sur quatre courses sans podium, battu à chaque fois par son coéquipier et rival au championnat Lando Norris, et il n’a plus signé de podium depuis plusieurs Grands Prix.

À Mexico, les difficultés se sont poursuivies. Dès les essais, il a peiné à comprendre le comportement de sa McLaren MCL39 et n’a atteint que le huitième temps en qualifications, loin de Norris qui partait en pole.

En course, il a gagné deux places mais a fini loin derrière son voisin de garage, vainqueur de l’épreuve.

Débordé au championnat

Pour la première fois depuis le Grand Prix d’Arabie Saoudite, Piastri ne mène plus le championnat. Il ne compte désormais qu’un point de retard sur Norris, tandis que Max Verstappen repasse à 35 unités. Le pilote australien reconnaît qu’il peine à exploiter tout le potentiel de sa voiture.

Dans ses analyses, il a notamment évoqué le fait d’être fréquemment limité par l’air et d’estimer nécessaire de changer plusieurs éléments de sa manière de piloter. Hier, après la séance, il est devenu clair qu’il fallait adapter des points importants dans son pilotage et que l’objectif était désormais de limiter les dégâts tout en apprendre sur ces points. Si des progrès apparaissent, il se montrera satisfait.

Réadapter son pilotage pour se relancer

Piastri a aussi révélé qu’il devait modifier profondément son style de pilotage depuis quelques courses, ce qui affecte sa performance en qualifications comme en course : il a dû conduire très différemment ces derniers week-ends — ou ne pas l’avoir fait alors que c’était nécessaire. C’est assez déstabilisant parce que sa façon de piloter reste celle du début de l’année, mais la voiture, les pneus ou d’autres paramètres exigent désormais un style différent, auquel il n’a pas encore pleinement adhéré.

Le pilote McLaren espère qu’une analyse plus poussée permettra de corriger le tir et de redevenir une menace pour la victoire. Il estime que la voiture n’a pas changé depuis un moment et que Lando Norris a mieux réussi à s’adapter. Il rappelle aussi que, sur les 19 premières courses, sa manière de conduire avait plutôt bien fonctionné et qu’il s’agit d’ajouter des outils à sa boîte à outils, pas de se réinventer complètement.

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