Papin impressionné par le mercato historique de l’OM à Marseille, l’été a été bouillant pour l’Olympique de Marseille. Avec 12 arrivées et 14 départs, le club a une nouvelle fois bouleversé son effectif et relance ses ambitions pour la saison à venir.
Sur RMC Sport, l’ancien Ballon d’Or a salué la qualité des recrues marseillaises. « Pour la première fois, j’ai rarement vu un effectif aussi fort à l’OM », a-t-il déclaré, soulignant le niveau des transferts réalisés.
Parmi les renforts, plusieurs noms accrochent l’attention: Benjamin Pavard, Matt O’Riley, Nayef Aguerd, Emerson Palmieri et Mason Greenwood font figure d’éléments clés dans ce mercato. Sous la direction de Pablo Longoria et Mehdi Benatia, l’OM a attiré des joueurs de haut niveau, capables de porter les ambitions du club en Ligue 1 et sur la scène européenne.
De Zerbi et la pression du nouveau groupe
Mais Papin rappelle que ce renouvellement n’assure pas à lui seul une réussite sportive. « Ce n’est pas parce qu’il y a des noms qui s’empilent que cela va faire une grande équipe », insiste-t-il. Le véritable enjeu réside désormais dans la valence sportive du groupe: De Zerbi, arrivé cet été, doit transformer ce collectif en une équipe compétitive et cohérente.
Le technicien italien est ainsi confronté à la mission de tirer le meilleur de cet effectif haut de gamme et de l’inscrire dans une dynamique collective, capable de répondre aux exigences de la Ligue 1 et d’avancer en compétitions européennes.
Papin conclut en appelant à la patience: « Il faut arrêter de discuter et leur laisser du temps. Je pense qu’ils peuvent faire de belles choses. » L’OM affiche des ambitions élevées, mais tout dépendra de la capacité de De Zerbi à trouver rapidement la bonne formule et à intégrer harmonieusement les recrues sur le terrain.
En définitive, ce mercato OM illustre une volonté claire d’élever l’effectif Marseille vers de nouveaux sommets dans le mercato et la saison à venir, avec l’espoir que les transferts réalisés se traduisent par des performances solides en Ligue 1 et sur la scène continentale.









