France
Roberto De Zerbi est vivement critiqué après ses récentes déclarations concernant le départ d’Adrien Rabiot et de Jonathan Rowe de l’OM. Sa prise de parole a été perçue comme peu claire par certains observateurs et a relancé les débats sur sa gestion du dossier. Des voix respectées du football estiment que sa communication manque de cohérence et nuit à l’image du club.
Sur RMC Sport, Éric Di Meco ne cache pas son étonnement devant cette sortie du coach italien. ‘La communication de De Zerbi, je la trouve moyenne’, affirme-t-il. Il souligne un manque de ligne directrice et de continuité dans ses propos, ce qui alimente les doutes parmi les observateurs.
Dans le Corriere dello Sera, De Zerbi a expliqué sa vision du dossier: ‘Moi, je n’avais jamais vu ça et je viens de la rue. Mais ça nous a fait du bien, car le club a choisi de se passer de Rabiot, qui n’a pas voulu faire un pas en arrière.’ Pour Di Meco, ces déclarations restent contradictoires et ne le grandissent pas.
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L’ancien Olympien se remémore aussi une sortie antérieure où le coach évoquait un possible retour de Rabiot: ‘Il avait dit qu’il voulait réparer les choses, et aujourd’hui il nous dit que finalement c’est une bonne nouvelle pour l’OM et que l’OM est meilleur sans Rabiot.’ De Zerbi n’avait pas besoin de sortir ce genre de déclarations; il doit être plus grand que ça. Rabiot n’a rien dit de problématique; trois mois plus tôt, De Zerbi disait que Rabiot était comme son fils. C’est étrange.
Et Jérôme Rothen, dans son émission sur RMC, va encore plus loin: ‘La classe ne s’achète pas… Il avait l’occasion d’être classe.’ Il rappelle que ‘l’an dernier, il louait le professionnalisme et la personnalité de Rabiot. Aujourd’hui, il affirme que l’équipe est plus forte sans lui, évoquant une dispute ? Je suis abasourdi.’ Pour Rothen et Di Meco, l’OM a été témoin d’une communication pour le moins confuse et contradictoire.
Pour résumer, Rothen et Di Meco critiquent De Zerbi pour ses propos contradictoires sur Rabiot. Après l’avoir loué, il affirme maintenant que l’équipe est meilleure sans lui, ce qui surprend les observateurs. Cette incohérence alimente les débats sur l’avenir de l’entraîneur à Marseille.
