Nasser Al-Khelaïfi défend le Mondial des clubs face aux critiques
Nasser Al-Khelaïfi défend la Coupe du monde des clubs malgré les critiques.
Dans un entretien accordé au journal espagnol « AS », Nasser Al-Khelaïfi, le président du Paris Saint-Germain, a exprimé son soutien indéfectible à la Coupe du monde des clubs, malgré les critiques croissantes concernant son impact potentiel sur la santé des joueurs et le calendrier chargé des compétitions.
Réponses aux critiques sur le Mondial des clubs
Les joueurs et certains clubs, parmi lesquels Rodri et Jules Koundé, ont dénoncé la surcharge du calendrier, évoquant même l’idée d’une grève. Néanmoins, Al-Khelaïfi reste convaincu que « tous les clubs veulent disputer ce Mondial des clubs ». Il a déclaré : « Les clubs ou les joueurs qui se plaignent n’ont qu’à pas le disputer. Si tu te plains, tu ne joues pas. » Cette déclaration a pour but de pousser à une réflexion plus profonde sur la nécessité pour les clubs d’assumer leur choix de participer à cette compétition.
La protection des joueurs en question
Lors de l’interview, Al-Khelaïfi a reconnu qu’il était urgent de discuter et d’élaborer des solutions pour alléger le calendrier qui devient de plus en plus rempli. « Toutes les parties concernées doivent se réunir et voir ce qui est le meilleur pour tout le monde. Je respecte les joueurs et ils doivent être protégés », a-t-il affirmé. Ce point montre une prise de conscience des défis auxquels sont confrontés les athlètes de haut niveau aujourd’hui.
Les enjeux financiers du Mondial des clubs
Un des aspects centraux abordés par le président du PSG est la question des retombées financières. Avec la Coupe du monde des clubs, il souhaite générer des revenus supplémentaires pour les clubs et les joueurs. « On essaie de trouver comment générer cet argent supplémentaire. Les clubs financent l’écosystème dans les meilleures conditions et les salaires augmentent de plus en plus », a souligné Al-Khelaïfi. Il a également mis en garde contre la perception erronée selon laquelle les clubs ne cherchent qu’un profit immédiat : « Les clubs se bougent pour récupérer l’argent qu’ils ont dépensé. »
