L’Irlandais Conor McGregor a accepté une suspension de 18 mois pour avoir enfreint la politique antidopage de l’UFC en ne fournissant pas certaines de ses données de localisation. Cette sanction le tiendra à l’écart de la compétition jusqu’au printemps 2026, avec un retour possible à partir du 20 mars 2026. Sa période d’inéligibilité a débuté le 20 septembre 2024, jour de son troisième manquement à l’obligation de localisation. L’UFC précise que les tests manqués par McGregor ont été classés comme des manquements à cette obligation.

Les règles imposent aux athlètes de communiquer à tout moment des informations précises sur leur localisation afin d’être contactés et soumis à des prélèvements sans avertissement. McGregor a pleinement coopéré à l’enquête et a reconnu sa responsabilité en fournissant les éléments détaillés qui ont conduit à l’identification des contrôles manqués.
Le CSAD a noté qu’il traversait une période de rétablissement après une blessure et ne se préparait pas pour un combat à venir. Sa coopération et les informations fournies ont été prises en compte, ce qui a permis une réduction de la sanction. Compte tenu de cette coopération, le CSAD a réduit de six mois la sanction standard de 24 mois.
McGregor pourra donc faire son retour à partir du 20 mars 2026, la période d’inéligibilité ayant commencé le 20 septembre 2024. Il pourrait être amené à boxer lors d’un prochain événement UFC, qui serait organisé à la Maison Blanche pour les 80 ans de Donald Trump.









