Malgré les critiques récurrentes concernant ses performances en Ligue 1, Stéphanie Frappart continue de bénéficier de la confiance de l’UEFA. La fédération européenne a officiellement choisi l’arbitre française pour diriger la finale de l’Euro féminin, qui opposera l’Angleterre à l’Espagne ce dimanche à 18h. Cette distinction témoigne de la reconnaissance de ses compétences au sein des instances continentales, malgré les débats et controverses qui ont parfois entouré ses prestations.
Il est à noter que son compatriote Willy Delajod sera également présent lors de cette rencontre décisive, en tant qu’assistant VAR. Sa présence à la vidéo-assistance souligne l’importance de cette finale, qui marque l’aboutissement de la compétition en Suisse. La sélection de Frappart pour cette étape phare du championnat européen féminin confirme son statut d’arbitre de référence, malgré les critiques qui peuvent parfois peser sur elle dans le championnat français.
Ce choix de l’UEFA est perçu comme une récompense méritée pour la carrière de Stéphanie Frappart, qui s’est imposée comme l’une des figures incontournables de l’arbitrage international. La désignation pour cette finale prestigieuse intervient alors qu’elle continue de faire parler d’elle, tant pour ses qualités professionnelles que pour les défis liés à la reconnaissance de son talent dans un milieu encore majoritairement masculin.
Ce rendez-vous européen constitue une étape importante dans la reconnaissance de l’arbitrage féminin, et la performance de Frappart sera scrutée de près par tous les passionnés de football. Sa sélection témoigne également de la confiance renouvelée de l’UEFA dans ses capacités à gérer une rencontre de cette envergure, renforçant ainsi sa position parmi les arbitres de haut niveau.
En dépit des polémiques ou des critiques, la carrière de Stéphanie Frappart continue de progresser, et cette nomination pour la finale de l’Euro féminin en est une illustration. La France peut être fière de voir l’une de ses arbitres se hisser à ce niveau d’excellence, dans un contexte où l’égalité hommes-femmes dans le sport reste encore à renforcer.








