Lewis Cook avoue une faute sur Gakpo lors de Liverpool-Bournemouth
Lors d’un match controversé, Lewis Cook, le milieu de terrain de Bournemouth, a semblé admettre avoir commis une faute sur Cody Gakpo, ce qui a conduit Liverpool à se voir accorder un penalty. Les Reds ont quitté la côte sud avec trois points précieux, grâce à un doublé de Mohamed Salah. Le premier but de l’Égyptien est survenu sur penalty, après un contact entre Cook et Gakpo.
Les faits du match
Le match a été marqué par une décision de l’arbitre qui a suscité de vives discussions. Gakpo, le joueur néerlandais, a tenté de récupérer une passe longue quand il a été mis au sol par Cook, et les ralentis montrent qu’il y avait effectivement un contact. Après la vérification du VAR, la décision de penalty a été confirmée.
Réaction de Lewis Cook
Après le penalty, Cook a été vu discuter avec un coéquipier, et selon des observations, il semblait murmurer les mots : « C’était une faute. » Cette situation a renforcé les débats autour de la légitimité du penalty accordé à Liverpool.
Clarification du VAR
Le Match Centre de la Premier League a publié des précisions en ligne concernant l’incident, déclarant que la décision du penalty avait été vérifiée et confirmée par le VAR, qui a jugé que le challenge de Cook sur Gakpo était un tacle fautif. De plus, il a été confirmé que Gakpo était en position de jeu au moment de l’incident.
Les réactions des anciens joueurs et des entraîneurs
Michael Owen, ancien attaquant de Liverpool, a exprimé son étonnement face aux débats entourant cette décision, affirmant qu’il s’agissait d’un penalty indiscutable. Il a déclaré sur les réseaux sociaux : « Comment les arbitres peuvent-ils gérer la situation si la moitié des gens pensent que ce n’est pas un penalty ? »
Du côté de Bournemouth, l’entraîneur Adoni Iraola a également exprimé ses doutes, soulignant qu’il y a des incohérences dans les décisions arbitrales, notamment après qu’une faute similaire n’avait pas été sanctionnée lors d’un match précédent de son équipe. En revanche, Arne Slot a défendu son joueur, affirmant qu’il s’agissait d’une faute qui méritait un penalty.