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Les Valkyries de Golden State et les Défis de la Free Agency
À l’aube de leur saison inaugurale, les Valkyries de Golden State espèrent que leurs installations d’entraînement à la pointe de la technologie seront un atout pour attirer les agents libres. Cependant, malgré les efforts déployés, l’équipe peine à séduire des noms de premier plan.
Des installations modernes
Le complexe de 2 952 mètres carrés, inauguré mercredi, comprend deux terrains de basket-ball, 17 paniers, une salle de musculation, un vestiaire et un centre de récupération. Malgré ces atouts, l’équipe n’a pas encore réussi à attirer de grands noms lors de la période des transferts.
Les défis d’une nouvelle franchise
« Nous avons des ressources illimitées pour faire de cet endroit le meilleur au monde, mais cela constitue un défi », déclare Joe Lacob, propriétaire des Valkyries. « Nous sommes une startup, et n’ayant aucun joueur avec nous, cela complique les choses, d’autant plus que nous sommes la première équipe d’expansion depuis 2008. »
Les transferts non concluants
Golden State a tenté de recruter des joueuses comme Kelsey Plum, Brionna Jones et Courtney Vandersloot, sans succès. Les Valkyries, en tant que nouvelle franchise, manquent de ressources pour réaliser de gros contrats, ce qui est également limité par leur cinquième choix lors de la draft de la WNBA.
L’approche des Valkyries
Ohemaa Nyanin, directrice générale, explique que leur stratégie de recrutement a été « d’être stratégique et compétitif ». Bien qu’il n’y ait pas une pression écrasante pour effectuer un transfert spectaculaire, l’équipe se concentre sur le développement de sa stratégie à long terme.
Le recrutement international
Pour compléter leur effectif, les Valkyries se tournent vers des talents internationaux. Mercredi, elles ont annoncé les signatures de Janelle Salaun (France), Kyara Linskens (Belgique) et Chloe Bibby (Australie).
Objectifs à long terme
Le but des Valkyries pour leur première année est d’être compétitives. Elles s’attendent à avoir davantage d’opportunités pour signer des joueuses de renom lors de la prochaine intersaison, lorsqu’un nouvel accord de négociation collective sera en place. La vision reste claire, comme le rappelle Lacob à Nyanin : l’objectif est de remporter un championnat dans les cinq prochaines années.