Le LOSC exclut Pavard pour des raisons financières, une réalité qui pèse lourd dans le dossier de transfert de Benjamin Pavard à l’approche de la fin du mercato estival.
Benjamin Pavard, international français, demeure l’un des profils les plus convoités, avec une éventuelle reconversion en Ligue 1 à l’ordre du jour. Si l’Inter Milan reste une option pour l’avenir, le défenseur écoute aussi les propositions qui lui sont faites. Des touches ont été évoquées en Turquie avec Galatasaray — que Pavard a refusée — et des intérêts venus d’Arabie saoudite. En France, deux clubs se tiennent prêts à l’accueillir: l’Olympique de Marseille et le LOSC. Si Marseille semble en capacité financière d’avancer, Lille apparaît clairement bloqué par des contraintes économiques.
Contexte et intérêt des clubs
Pour Pavard, l’échéance du transfert demeure incertaine et les options évoluent en fonction des budgets des clubs. Le défenseur n’écarte pas une éventuelle continuité à Milan si une proposition convaincante se présente, tout en restant attentif à d’autres opportunités, notamment en Ligue 1 avec l’OM et le LOSC. Si le dossier OM-LOSC alimente les discussions, Lille doit composer avec une réalité financière qui freine toute opération majeure.
Les propos d’Olivier Létang
Lors d’une conférence de presse, le président du LOSC a volontairement pris la posture de l’ironie face à une éventuelle arrivée de Pavard: il affirme avoir eu des échanges avec le joueur et reconnaît que des choses sont possibles, d’autres non. Il a ajouté qu’un retour de Pavard serait « formidable » et qu’il appréciera toujours de le voir porter les couleurs du LOSC, mais les considérations économiques actuelles rendent l’opération impossible à réaliser.
Perspective pour l’avenir de Pavard
En fin de compte, le chemin de Benjamin Pavard demeure ouvert. Le défenseur continue d’analyser les propositions qui lui parviennent et peser les options qui s’offrent à lui, tout en considérant que le marché des transferts peut réserver d’autres surprises, tant en Ligue 1 que sur d’autres scènes européennes. Le dossier Pavard illustre bien, dans le cadre du transfert, les limites budgétaires qui pèsent sur les clubs français à quelques mois d’une Coupe du monde et d’un cycle supplémentaire pour la sélection nationale.








