
Di Giannantonio contraint à l’abandon à cause de surchauffe à Buriram
Di Giannantonio a dû abandonner après des brûlures dues à une surchauffe de sa moto à Buriram.
Fabio di Giannantonio a été contraint d’abandonner lors de la course sprint du Grand Prix de Thaïlande en raison d’une surchauffe de sa moto. Le pilote du team VR46 a indiqué que sa Ducati était « complètement en train de brûler » sous la chaleur intense.
Un abandon inquiétant à Buriram
Di Giannantonio se trouvait à la limite du top 10 dans cette course de mi-distance lorsqu’il a été contraint de s’écarter de la trajectoire au virage 5, alors qu’il restait moins de quelques tours. En raison d’une cadence de plus en plus lente, il a décidé de rentrer aux stands au tour 11 sur 13, devenant ainsi l’un des deux pilotes, avec Jack Miller, à ne pas finir cette première course de la saison 2025 de MotoGP.
Des brûlures insupportables
Après l’incident, di Giannantonio a expliqué que la surchauffe de sa moto avait provoqué plusieurs brûlures sur son corps, rendant sa continuation de course insupportable. « Ce qui s’est passé, c’est que la moto était complètement en train de brûler », a déclaré l’Italien. « J’ai eu des brûlures aux mains, aux jambes, au cou. C’était vraiment bizarre. La Ducati est généralement l’une des motos les plus refroidies. »
Un problème isolé pour Di Giannantonio
Di Giannantonio a mentionné qu’une situation semblable avait eu lieu la veille, mais il a affirmé qu’il ne s’agissait pas d’un problème technique de sa moto. « Je suis le seul pilote à me brûler. D’autres se plaignent de la chaleur, mais il m’était impossible de rouler correctement », a-t-il précisé. Lorsqu’il freinait, il devait retirer ses pieds de la moto pour éviter la douleur.
Un choix difficile
En expliquant sa décision de se retirer, il a avoué : « C’était trop. Je voulais continuer, mais avant le dernier virage, je savais que je n’étais plus à la lutte pour les points. » Il a décidé qu’il valait mieux économiser ses forces pour la prochaine course, surtout compte tenu de sa récente blessure à la clavicule.
Confiance envers l’équipe
Malgré cet incident malheureux, le pilote de 26 ans reste confiant quant à sa formation technique. « Je suis sûr que le VR46 trouvera une solution avant le Grand Prix de dimanche », a-t-il déclaré. « Nous devons trouver une manière de régler ce problème. Je ne veux pas croire que c’est impossible de le corriger. » Il a également noté que ses coéquipiers n’avaient pas rencontré les mêmes difficultés, renforçant sa détermination à s’améliorer.