Lors du match entre le Paris Saint-Germain (PSG) et l’Olympique de Marseille (OM), la ministre des Sports, Marie Barsacq, a exprimé sa profonde indignation face aux banderoles insultantes et aux chants injurieux qui ont été déployés. Elle a déclaré sur franceinfo le 17 mars qu’elle « condamnait avec la plus grande fermeté » de tels comportements.
Une réaction inacceptable
Marie Barsacq a souligné que « c’est inadmissible dans une enceinte sportive », en faisant référence aux banderoles visant notamment Adrien Rabiot et sa famille. Elle a ajouté que la commission de discipline de la Ligue de football professionnel (LFP) se prononcera mercredi sur ces incidents.
Elle a précisé que l’État travaille de concert avec les ministres de l’Intérieur et de la Justice pour mieux identifier les auteurs de ces délits.
Identifier les responsabilités
Elle a également insisté sur l’importance d' »identifier la responsabilité de chacun : celle de la Ligue, celle des clubs, et celle de l’État aussi quand il s’agit de sanctionner ». Pour cela, une convention sera signée prochainement avec la LFP, les ministères concernés afin de clarifier ces niveaux de responsabilité.
Agir avec fermeté
Marie Barsacq a exprimé que la situation actuelle laisse de nombreux présidents de clubs démunis. Elle a déclaré : « Aujourd’hui, on se sent démunis, les présidents de clubs le sont aussi. Et pourtant, il faut agir. » Elle a souligné que cela nécessite d’être beaucoup plus ferme et que les futures actions iront vers la sanction et l’interdiction.










