France
Richard Wigglesworth, entraîneur principal de l’équipe d’Angleterre, évoque la pression qui pèse sur ses joueurs comme un statut privilégié à l’approche de leur rencontre avec l’Afrique du Sud.
Contexte du match
La rencontre se déroulera au stade Allianz de Twickenham le samedi 16 novembre, avec un coup d’envoi prévu à 17h40 GMT. Après avoir enregistré quatre défaites consécutives, don des revers serrés face à la Nouvelle-Zélande et l’Australie lors des deux premiers matchs de la saison des Nations d’automne, l’Angleterre se prépare à affronter les champions du monde en titre.
La pression comme privilège
Wigglesworth souligne que la pression d’obtenir des résultats est inhérente au fait de représenter la sélection nationale. « Ce rôle au sein de l’équipe d’Angleterre est un véritable privilège, car tant de personnes y tiennent, ce qui rend ce ressenti très fort », déclare-t-il.
Il précise : « Notre travail consiste à nous éloigner du bruit extérieur et à analyser ce qui est juste, ce qui ne l’est pas, et ce que nous pouvons améliorer. Nous devons considérer le jeu tel qu’il est, prendre les décisions en conséquence et nous améliorer chaque semaine. »
Les forces de l’Afrique du Sud
Lors de leur dernière rencontre, les Springboks avaient renversé la situation après avoir été menés 15-6, remportant le match 16-15 lors de la demi-finale de la Coupe du Monde de rugby. Wigglesworth reconnaît que l’équipe sud-africaine a évolué depuis, mais continue de s’appuyer sur ses forces traditionnelles.
« Ils disposent d’un effectif et d’un plan qui ont fait leurs preuves, et lorsque l’on connaît le succès, on a tendance à s’y tenir », explique-t-il. Il est impatient de découvrir la stratégie de l’équipe sud-africaine et comment son équipe pourrait y répondre.
Relations avec l’ancien entraîneur
Concernant l’ancien entraîneur de la défense, Felix Jones, qui a récemment quitté son poste avec l’Angleterre, Wigglesworth a déclaré que les entraîneurs anglais n’étaient pas en contact direct avec lui, bien qu’il fournisse une analyse à distance en attendant la fin de son préavis. « Je crois qu’il travaille avec nous en coulisse, mais nous n’avons pas échangé personnellement », a-t-il partagé.
Image emblématique
