Alfonso Cabeza, ancien président de l’Atlético Madrid au début des années quatre-vingt, évoque son expérience au sein du club dans l’émission **Buenas Noches et Buenos Goles**. Il se remémore des moments marquants de son mandat et revient sur une anecdote surprenante de sa carrière.
Le presque début d’Alfonso Cabeza
Récemment, une controverse a émergé à propos de l’entrée en jeu d’Iván Buhajeruk (Spreen), qui a effectué une minute de jeu sans toucher le ballon avec le Deportivo Riestra en Primera División en Argentine grâce à une question de sponsoring. Cabeza révèle qu’il avait également failli faire ses débuts 40 ans plus tôt.
« J’avais prévu que si nous arrivions au dernier match contre Osasuna et que nous étions déjà champions, je devais jouer 10 minutes, mais cela ne s’est pas produit parce que nous avons été volés. On m’a volé le titre de champion, et il ne s’est rien passé. Parce qu’ici, il ne se passe jamais rien. Je jouais au football, j’étais mauvais, je le reconnais, mais j’aurais voulu jouer, bien sûr. Pourquoi n’aurais-je pas joué dix minutes ? »
Les critiques d’arbitrage
Le docteur Cabeza n’hésite pas à critiquer l’arbitrage durant sa présidence. « On m’a trompé en janvier. On m’avait prévenu qu’il y avait un complot contre moi, car j’étais un personnage gênant à cette époque. J’ai pris la parole pour dire des vérités, comme que les arbitres se vendaient et se compraient, et voilà que les révélations sur Negreira apparaissent 40 ans plus tard… »
L’éloge du président du Real Madrid
Dans une tournure inattendue, le docteur Cabeza fait l’éloge de Florentino Pérez, l’actuel président du Real Madrid. « Je te le dis sincèrement, et je vais te donner son nom. Le plus intelligent, je crois, c’est Florentino. Il devrait être président du gouvernement. Bien que, je le répète, je suis anti-Real Madrid, et maintenant ils se moquent de moi. Je préfère de loin quand le Madrid perd que quand l’Atleti gagne. »









