Alejandro Grimaldo, le talentueux latéral espagnol du Bayer Leverkusen, ne cache plus son désir de rejoindre le Real Madrid. Face aux difficultés défensives rencontrées par le club madrilène, l’international espagnol apparaît comme une cible prioritaire pour renforcer la ligne arrière de la Casa Blanca.
Un profil recherché par le Real Madrid
Le Real Madrid cherche à relancer un nouveau cycle en ciblant des renforts de qualité, notamment en défense, un secteur affaibli par de nombreuses blessures. Après la signature prometteuse du jeune défenseur central Dean Hujisen en provenance de Bournemouth, le club madrilène s’intéresse désormais de près à Alejandro Grimaldo. Formé au FC Barcelone, Grimaldo est aujourd’hui reconnu comme l’un des meilleurs latéraux en Europe et a éveillé l’attention du champion d’Espagne.
Un désir de retour en Liga assumé
Dans une interview accordée à l’émission El Chiringuito, le latéral gauche a évoqué son ambition et sa fierté d’être lié au Real Madrid : « Cela me rend heureux d’être associé au Real Madrid. C’est une fierté que l’on pense que j’ai le niveau pour jouer dans l’un des plus grands clubs du monde. C’est pour ça que je travaille. »
Depuis son arrivée au Bayer Leverkusen, Grimaldo a franchi un cap sous la direction de Xabi Alonso, futur entraîneur du Real Madrid. Son rendement en Bundesliga, où il est devenu un élément indispensable du champion allemand, renforce les chances d’un transfert. L’influence de l’entraîneur basque pourrait être déterminante dans la décision du club madrilène et du joueur lui-même.
Grimaldo prêt à saisir une opportunité en or
Malgré son passé au FC Barcelone, Alejandro Grimaldo a toujours voulu revenir jouer en Espagne, comme il l’a confirmé : « Je n’ai jamais fermé cette porte. Leverkusen est une très bonne équipe, mais mon idée depuis longtemps, c’est de revenir en Espagne. »
Interrogé sur sa volonté de porter le maillot du Real Madrid, l’Espagnol a été clair et déterminé : « Ce que je veux, c’est jouer dans les meilleurs clubs du monde. Si l’opportunité se présente, je la saisirai. C’est pour ça que je me bats depuis que j’ai quitté Barcelone à 12 ans. »









