Ruben Amorim a fait face à de nombreuses critiques en tant qu’entraîneur de Manchester United, notamment de la part d’anciens joueurs du club, mais il assure ne pas en vouloir à ceux qui s’expriment dans les médias et accepte que son niveau de performance suscite des commentaires.
Cette semaine, Paul Scholes est venu ajouter son avis, affirmant sur son podcast The Good, the Bad and the Football qu’Amorim ne comprenait pas le club et qu’il n’était pas le bon homme pour le poste. Gary Neville et Roy Keane ont aussi été des critiques virulents sur Sky Sports, mais Amorim a minimisé l’idée d’un conflit et a dit prendre personnellement les critiques.
Le problème, selon lui, est que, en tant qu’entraîneur, il n’est pas encore à la hauteur et il l’assume. À ses yeux, ce n’est pas la seule difficulté et, pour les fans, Manchester United ne gagne pas comme attendu. Il rappelle que dans une autre expérience, à Sporting, tout était gagné et que le contexte autour du club était différent. Il affirme comprendre cette distinction et l’accepter.
Amorim se montre auto-critique et affirme qu’il doit améliorer le jeu de Manchester United sur plusieurs plans pour obtenir davantage de victoires et gagner en régularité. Il observe simplement les rencontres et reconnait que l’équipe peut parfois bien jouer, mais manque de constance. Il insiste sur la nécessité de travailler sur la variabilité de son approche, en particulier dans la construction du jeu, et sur le fait de trouver différentes façons d’extraire le potentiel du groupe. Il cherche des solutions pour remporter plus de matchs et pour inspirer des joueurs qui n’obtiennent pas encore de temps de jeu.









