Didier Deschamps a réaffirmé lors du rassemblement de novembre que l’équipe de France aura un nouveau sélectionneur après la Coupe du monde 2026, et l’ombre de Zidane comme potentiel sélectionneur des Bleus après 2026 plane sur le dossier.

Le scénario, largement partagé, voit Zidane comme candidat privilégié grâce à son parcours et son aura. Mais un élément peut tout compliquer et nécessite des discussions avant l’engagement officiel.
Le calendrier envisagé par le président de la Fédération française de football Philippe Diallo prévoit une passation en juillet, après le Mondial. D’ici là, il faut régler les détails contractuels et les points sensibles.
Un contrat à vie et des arbitrages à trouver
Egérie d’Adidas, Zidane devra faire des concessions puisque Nike assure le financement de l’équipe nationale jusqu’en 2034. Le Parisien rappelle que les périmètres des deux marques doivent être définis sans froisser personne.
La somme annuelle évoquée par le duo Adidas et Nike est estimée autour de 100 millions d’euros, ce qui rend l’accord complexe mais non dissuasif pour la possibilité d’une collaboration avec les Bleus. Plus tôt, lors d’un festival sportif en Italie, Zidane a laissé entendre qu’il ne sait pas ce que l’avenir lui réserve mais que travailler un jour avec l’équipe nationale serait un désir impératif pour lui.









