Équipe d'Écosse : confiance et stratégie pour la qualification mondiale

Équipe d’Écosse : confiance et stratégie pour la qualification mondiale

L'équipe d'Écosse, menée par Steve Clarke, vise la qualification pour la Coupe du Monde avec confiance face à la Grèce en match décisif.

Écosse, Grèce

Steve Clarke, l’entraîneur de l’Écosse, se montre convaincu que ses joueurs sauront garder leur sang-froid dans ce duel qualificatif pour la Coupe du Monde face à la Grèce, à Athènes, demain soir. Les Écossais sont arrivés à Piraeus en sachant qu’un point au stade Georgios Karaiskakis suffirait à préparer un match décisif contre le Danemark à Hampden mardi. Cette échéance pourrait être historique pour l’équipe nationale, car la dernière participation à une Coupe du Monde remonte à 1998. L’objectif reste clair : accéder à une compétition majeure après plusieurs années d’attente.

Clarke a été critique après la victoire 2-1 sur la Biélorussie à Hampden le mois dernier, reconnaissant que cette performance figurait parmi les plus faibles de son mandat. Il admet que l’Écosse a paniqué face à une Biélorussie classée 100e au monde, mais il est convaincu que ses joueurs seront à la hauteur cette fois en affichant leur meilleur niveau. Il rappelle que l’équipe ne doit pas céder à la peur et doit viser la victoire plutôt que le nul. L’objectif est de préserver les points et de rester dans la course, même si le chemin reste exigeant.

Le sélectionneur devra gérer un doute dans les buts puisque Angus Gunn est absent. Craig Gordon, qui n’a pas joué pour Hearts depuis six mois, pourrait être préféré à Liam Kelly et Scott Bain, en fonction de la forme et de l’expérience. John Souttar affirme qu’un Mondial représenterait un rêve devenu réalité après avoir été écarté de l’Euro 2024. Clarke indique que la composition finale sera décidée le soir du match et que les supporters ou les médias n’obtiendront pas d’indices avant l’heure précise.

Du côté grec, Ivan Jovanovic reste convaincu que son équipe peut rivaliser avec les Écossais, même si la Grèce est désormais hors course pour le Mondial. Les Grecs avaient battu par endroits l’Écosse au cours de l’année, et Clarke a noté la solidité adverse. Jovanovic affirme que la Grèce demeure une équipe compétitive et qu’elle ne joue pas par vengeance mais par motivation à jouer devant ses fans. Le match à Piraeus s’annonce difficile, mais l’objectif grec est clair : prendre des points et continuer à croire en la qualification.

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