France
Le match OL-PSG continue de faire parler de lui 48 heures après la rencontre. La trêve internationale arrive au bon moment pour les acteurs de l’OL et du PSG, Lyon en particulier, qui disposent de deux semaines pour évacuer la déception après le match contre le leader parisien. Plusieurs incidents arbitrales ont animé le choc de la douzième journée de Ligue 1, avec notamment une main potentielle de Zabarnyi dans la surface parisienne, une faute présumée de Vitinha sur Tessmann avant le deuxième but et l’intervention de Kang In-Lee sur Tagliafico lors d’une reprise de l’Argentin.
Sur le terrain, Benoît Bastien a sifflé en faveur du PSG et la VAR a suivi. Les Lyonnais se voyaient lésés, mais la Direction Technique de l’Arbitrage (DTA) a confirmé qu’elle n’avait constaté aucune erreur manifeste lors d’OL-PSG.
Mais coup de théâtre 24 heures plus tard: la DTA a admis une erreur d’arbitrage sur le deuxième but parisien; ce but n’aurait pas dû être validé. Selon son communiqué, le contact entre la jambe droite du joueur parisien et l’arrière de la jambe d’appui du Lyonnais, légèrement en avance par rapport à la déviation du ballon, aurait pu expliquer la chute. La DTA précise toutefois ne pas charger l’arbitre, évoquant une interprétation différente de la phase incriminée.
Cette volte-face ne devrait pas calmer les tensions entre les deux camps et laisse place à l’interrogation sur la gestion des situations similaires à l’avenir.
