Pep Guardiola évoque sa rivalité avec Jürgen Klopp à l'occasion de son 1 000e match

Pep Guardiola évoque sa rivalité avec Jürgen Klopp à l’occasion de son 1 000e match

Pep Guardiola revient sur sa rivalité avec Jürgen Klopp alors qu'il approche son 1 000e match en tant qu'entraîneur, un moment clé dans sa carrière.

France

Pep Guardiola affirme que Jurgen Klopp lui manque alors qu’il se prépare à affronter l’ancien club de son grand rival pour son 1 000e match à la tête d’une équipe. Le manager de Manchester City estime qu’il n’existe pas d’adversaire plus adapté que Liverpool pour marquer ce jalon. Le duel de dimanche, face aux champions en titre, se présente comme le point d’orgue d’une carrière déjà riche, marquée par des passages à Barcelone et au Bayern Munich et par neuf années pleines à City. Guardiola, vainqueur de six titres de Premier League et de la Ligue des champions avec City, ajoute que s’il devait choisir un seul rival pour ce moment personnel, ce serait ceux qui l’ont accompagné tout au long de sa trajectoire.

Pep Guardiola avant son 1 000e match en tant qu'entraîneur
Pep Guardiola avant son 1 000e match en tant qu’entraîneur

Guardiola revient sur les années de batailles pour les titres disputées avec Klopp avant que l’Allemand ne quitte le banc de Liverpool à Anfield l’an dernier, et il les classe parmi les temps forts de sa carrière. Il affirme que Liverpool, surtout avec Jurgen, a été le plus grand rival du pays et que ce duel n’aurait pas pu être plus adapté pour lancer ce chapitre.

Sur le plan humain, il rappelle que les deux entraîneurs se respectaient mutuellement. Il avait le sentiment que Klopp lui apportait énormément et il avoue que Klopp lui manque.

Guardiola rappelle que son succès repose aussi sur les joueurs qu’il a eu à disposition. Il affirme l’avoir répété mille fois, reconnaissant que cela peut sembler de la fausse modestie mais que c’est la réalité. « Ce pourcentage de victoires, au-delà de 70 %, comment cela se fait-il ? Cela peut arriver parce que vous étiez à Barcelone, au Bayern et à Manchester City avec les joueurs que j’avais. Pas de secrets. » Après cela, c’est surtout du travail – énormément – du dévouement, de la passion, de l’amour et de la détermination qui, assure-t-il, font la différence. Guardiola plaisante aussi sur le fait que ceux qui soutiennent qu’il est le meilleur ont « tout à fait raison », avant d’ajouter : « Je n’ai jamais commencé à penser que je voulais être le meilleur. Je suis à l’aise avec les défaites. »

Il rappelle que les chiffres restent impressionnants: 715 victoires en 999 matchs dirigés depuis sa première prise en charge du Barça B en 2007, et les réalisations à Barcelone, au Bayern et à City témoignent de l’ampleur de son parcours.

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