France
À la veille du duel de Ligue des champions entre le PSG et le Bayern Munich, mardi au Parc des Princes, l’entraîneur parisien a pris la parole pour faire le point. Il rappelle que ce match ne doit pas être perçu comme un simple test et souligne que chaque rencontre d’envergure mérite une préparation sérieuse. Selon lui, pour mesurer la véritable force des équipes, il faut attendre la fin de la saison et observer les trophées remportés. Aujourd’hui, les Bavarois restent sur une série impressionnante et semblent inarrêtables, mais le PSG affirme être prêt et motivé à l’emporter.
Le souvenir du duel intense de l’été dernier lors de la Coupe du monde des clubs reste gravé : le PSG s’était imposé 2-0, alors que le Bayern évoluait en infériorité numérique. L’entraîneur assure que des scénarios similaires peuvent se produire : beaucoup d’intensité et les mêmes principes de jeu. C’est un rendez-vous attractif et motivant pour les deux formations.
Concernant l’évolution du Bayern, les résultats parlent d’eux-mêmes : 15 victoires en 15 matchs depuis le début de la saison, un exploit qui force le respect. En revanche, au Parc, avec le soutien des supporters, l’équipe parisienne se sait capable de déjouer la pression adverse. Cette atmosphère rappelle celle de l’été dernier et demeure un paramètre à prendre en compte.
Dimanche, Ousmane Dembélé a été touché par des douleurs lors du match PSG–Nice, mais l’entraîneur affirme qu’il n’y a aucun risque pour le joueur et que sa condition s’améliore : il a participé à tous les entraînements des deux dernières semaines et a disputé les deux derniers matches. Il va jouer, le temps de jeu restant à déterminer demain lors de la composition.
Le rôle de capitaine : les joueurs choisissent leur capitaine, et Marquinhos incarne une référence au club depuis 2013 ; d’un point de vue purement technique, son niveau est incontestable, et sur le plan personnel, c’est un leader inspirant que l’entraîneur est heureux de compter. Il espère le voir rester longtemps.
Un test pour évaluer le PSG : « Vous pensez que je dois évaluer notre équipe ? Vous pensez que les supporters du PSG doivent le faire ? Je ne le pense pas ». L’entraîneur rappelle qu’il faut accorder une certaine confiance et que gagner demain pour trois points est essentiel, d’autant plus que le tirage en Ligue des champions est difficile ; l’objectif est d’être compétitif face à n’importe quel adversaire, à domicile comme ailleurs.
La clé du match : l’analyse du dernier duel entre les deux équipes indique un duel équilibré. Le Bayern ne changera pas son style et nous non plus, mais nous jouerons notre football encore plus à la maison ; quelques détails permettent de dépasser leur pressing et ils peuvent aussi nous faire mal. Ce sont ces petits éléments qui détermineront la complexité du football et qui feront la différence dans la zone de vérité.
Pour rester imprévisible, il faut varier les actions et viser le même objectif par des approches différentes. L’entraîneur se montre confiant et affirme que l’équipe peut progresser tout en étant heureuse de ce qu’elle montre sur le terrain.
Senny Mayulu est présenté comme un joueur clé par sa qualité individuelle, sa technique et sa polyvalence, mais aussi par sa mentalité. Il progresse et l’entraîneur se dit satisfait de ce qu’il voit, tout comme de Warren Zaïre-Emery et des autres talents du centre de formation.
Quentin Ndjantou arrive fort, surprenant même ; le staff espère qu’il continuera à progresser et qu’il pourra aider l’équipe première ou les U19. L’encadrement est enthousiaste à l’idée d’avoir un joueur de ce profil dans l’effectif.
