France, Algérie
Rayan Cherki choisit la France : colère en Algérie 🇩🇿⚽
Après un long suspense, la décision de Rayan Cherki est désormais officielle : il portera les couleurs de l’équipe de France. Le jeune talent de l’Olympique Lyonnais a été convoqué par le sélectionneur national, Didier Deschamps, alors que son avenir international semblait incertain, avec des rumeurs évoquant une possible sélection pour l’Algérie ou l’Italie. Finalement, c’est la France qui a remporté la mise, ce qui n’a pas manqué de provoquer la colère de nombreux supporters algériens.
Un choix qui fait polémique
Le parcours de Cherki a longtemps été scruté par les observateurs, certains espérant qu’il opterait pour l’Algérie, son pays d’origine, ou pour l’Italie, autre option évoquée. Cependant, le joueur a rapidement clarifié la situation en déclarant : « *Pour être franc et sincère, je n’ai jamais eu de contacts officiels avec l’une ou l’autre des deux fédérations* ». Cette réponse a été perçue comme une manière de couper court aux spéculations et de confirmer son alignement avec la sélection française.
Une réaction qui ne passe pas auprès des supporters algériens
Ce choix a suscité une vive déception en Algérie, où de nombreux fans rêvaient de voir Rayan Cherki représenter les Fennecs. Sur la plateforme YouTube, le journaliste Romain Molina a commenté : « *Cherki a expliqué qu’il n’avait pas eu de contact direct avec l’Algérie ou l’Italie. Cela a mis beaucoup de gens en colère dans la fédération algérienne de football* ». Selon lui, cette situation aurait créé une certaine frustration, certains estimant que le clan Cherki aurait utilisé l’Algérie pour faire pression sur la Fédération française afin d’obtenir une sélection.
Une stratégie perçue comme une utilisation de l’Algérie
Les observateurs en Algérie pensent que le joueur et son entourage auraient exploité la nationalité algérienne pour faire monter la pression dans le but d’intégrer l’équipe de France. « *On a eu l’impression qu’on s’est fait un peu balader. La fédération algérienne considère que le clan Cherki a utilisé leur nationalité pour influencer la décision* », a ajouté Molina, renforçant l’idée que cette affaire a laissé un goût amer dans certains cercles sportifs algériens.
