Nick Cushing, ancien entraîneur de New York City FC (NYCFC), se prépare pour un nouveau chapter de sa carrière après avoir quitté le club de football new-yorkais. Avec des années d’expérience à son actif, il évoque ses réflexions sur son départ et ses ambitions futures dans le monde du football.
Un parcours impressionnant
Cushing a passé quatre ans à NYCFC, dont deux en tant qu’assistant et deux autres comme entraîneur principal. Avant cela, il a également dirigé l’équipe féminine de Manchester City, où il a joué un rôle clé dans l’essor du football féminin. Il partage ses réflexions sur son temps à New York et la fondation qu’il a posée pour le club.
Réflexions sur son départ
Dans une discussion récente, Cushing a exprimé sa tristesse de ne pas avoir pu dire un au revoir approprié aux fans qui l’ont soutenu tout au long de son parcours. Il souligne : « J’étais vraiment fier de ce que nous avons accompli et de la fondation que nous avons mise en place. » Malgré son attachement au club, il pense que c’était le bon moment pour relever un nouveau défi après 20 ans au sein du City Football Group.
À la recherche de nouveaux défis
À seulement 40 ans, Cushing ne se limite pas à un type de poste. Il est impatient de revenir sur le terrain d’entraînement et d’appliquer son expérience. Il déclare : « Je suis affamé de revenir et de prendre une équipe. Je ne ressens pas le besoin de faire une pause; je veux juste retrouver ma passion. »
Apprentissage et préparation
Cushing a passé du temps à étudier d’autres entraîneurs pour affiner ses compétences. Récemment, il a observé les méthodes de Sean Dyche à Everton et a également échangé des idées avec d’autres entraîneurs de renom. Ce désir d’amélioration continue reflète sa détermination à se préparer pour un futur dans un des plus hauts niveaux de la compétition.
Aspirations futures
Cushing aspire à travailler dans la Premier League, tout en gardant l’esprit ouvert concernant le lieu où il pourrait exercer. « J’ai un grand désir de travailler en Europe et j’aimerais bien intégrer l’une des cinq meilleures ligues européennes. » Il est clair que, peu importe le niveau, ce qui compte pour lui, c’est le projet et les personnes avec lesquelles il travaille.









