Manchester United cherche à renforcer son effectif afin de résoudre les problèmes auxquels fait face l’équipe dirigée par Ruben Amorim. Après avoir subi neuf défaites en Premier League cette saison, le club a concédé 26 buts en 19 matchs, affichant une différence de buts de -5.
Un changement de direction nécessaire
Malgré le départ de l’ancien entraîneur Erik ten Hag, la situation à Old Trafford reste inchangée et Amorim a du mal à redresser la barre. Des décisions difficiles sont nécessaires pour améliorer les performances de l’équipe, ce qui implique à la fois de libérer des joueurs et de recruter de nouveaux talents.
Viktor Gyokeres courtisé par Manchester United
D’après plusieurs sources, dont iNews, l’attaquant de Sporting Lisbonne, Viktor Gyokeres, serait intéressé par un transfert vers Manchester United pour retrouver son ancien entraîneur, Ruben Amorim. Leur collaboration à Sporting a été fructueuse et les deux hommes ont connu beaucoup de succès ensemble.
Manchester United souhaite vivement recruter Gyokeres, mais se heurte à plusieurs obstacles pour finaliser ce transfert.

Des difficultés financières pour Manchester United
Le club fait face à des problèmes financiers en raison des règles sur la rentabilité et la durabilité. Pour y remédier, ils envisagent de prêter des joueurs comme Casemiro, Antony et Marcus Rashford cet hiver. Cette stratégie devrait aider à alléger leur masse salariale.
Le transfert de Gyokeres coûterait environ 70 millions d’euros, mais le club portugais serait uniquement prêt à le vendre lors du mercato estival. Changer d’équipe durant cette fenêtre de transfert semble donc difficile pour les Red Devils en raison de leurs restrictions budgétaires.
Les autres mouvements possibles
En parallèle, Joshua Zirkzee aurait déjà engagé des discussions avec la Juventus pour un transfert ce mois-ci, selon Gianluca Di Marzio, ce qui fait de lui l’un des candidats potentiels à être libéré. De son côté, Marcus Rashford, dont l’avenir semble incertain à Old Trafford, aurait une étiquette de prix fixée à un minimum de 46 millions d’euros.









