« `html
Jack Willis, international anglais et star du rugby en pleine forme, profite d’une nouvelle vie à Toulouse, une ville passionnée de rugby. Entre sa carrière au sein du club le plus prestigieux du monde et son rôle de père, il jongle habilement entre ses responsabilités sportives et familiales.
Une journée typique à Toulouse
Après une nuit de matchs dans le Top 14, Jack Willis se lève tôt pour s’occuper de ses deux jeunes enfants. « Nous avons joué à Vannes et sommes rentrés à quatre heures du matin, » explique-t-il, tout en savourant un gros plat d’œufs sur du pain grillé. « Ensuite, il a fallu se réveiller à 7 heures pour le premier jour d’école de mon fils Enzo – c’était un vrai défi ! »
Une nouvelle aventure en France
Depuis la faillite des Wasps en 2022, Willis a été sans emploi, mais cette période difficile a conduit à une opportunité incroyable : rejoindre Toulouse. Il est rapidement devenu un pilier de l’équipe, gagnant deux titres consécutifs en championnat français ainsi que la Champions Cup. « C’est incroyable de voir combien le rugby signifie ici, » confie-t-il.
La passion des supporters
Le Stade Ernest-Wallon, d’une capacité de 19 000 places, est toujours plein pour les matchs à domicile. Les supporters, vêtus des couleurs du club, attendent avec impatience l’arrivée de l’équipe. « Ils sont là, 10 personnes de large, avant chaque match ! » se réjouit Willis. « C’est une atmosphère électrique. »
Un équilibre entre le rugby et la vie de famille
Willis a dû apprendre à jongler avec sa carrière de rugbyman et son rôle de père, surtout après la naissance de son second enfant, Arlie. « Mon objectif était de parler français pour éviter tout malentendu médical, » explique-t-il en riant. « Je me devais de m’adapter pour le bien de ma famille. »
Avenir et ambitions
Bien que Willis ait signé un nouveau contrat de deux ans avec Toulouse, ce qui l’empêche de jouer pour l’équipe nationale sous la réglementation de la RFU, il reste motivé. « Je rêve toujours de gagner des titres, mais je me sens très bien ici, » dit-il. Son frère Tom, qui joue aussi au rugby, pourrait un jour être une motivation pour un retour en Angleterre.
« `













